Être ou avoir été, quand on dit qu’il faut savoir s’arrêter
en été.
De toute façon, pas le choix. Ça fait des semaines qu’ils ont disparu. Eux, les autres…. Silence radio. Plus de réponse. Personne n’est plus là, où sont-ils passés?
Été impromptu, interrompu dés son début. Pour te faire plier, te faire taire, genoux à terre, pass-sanitaire
Un été sous la contrainte, un été obligé, le second été sous un masque en papier.
T’es tu entêté cet été ? Ou as tu lâché la rampe?
Se jeter à l’eau, (allo, allo à l’hôpital…?)
Transi à Nancy ou ailleurs,
Passer des heures en intérieur sur Internet, sous les averses incessantes, et les gros nuages gris.
Un été pas net. Drôle de putain de Juillet tristos,
Été brûlant et thé glacé.
Un été bi,
Un été bi-polaire pendant que les glaces millénaires fondent par gigantesques blocs d’icebergs en dérive…
Un été frais pour ceux qui font les frais d’un anticyclone au Nord de la Loire, ou sec au Sud et pourtour méditerranéen 45° à l’ombre en Grèce et en Turquie, un été enflammé, milliers d’hectares détruits, maisons hôtels, ranchs, campings dévastés par le feu, tandis que le Nord caille.
Comment se ressourcer?
Un été -« aride »
Pour les anciens isolés, « solo » dans les Ehpad,
Un été transparent quand rien ne se décide,
Un été en stand by en attendant le soleil,
Jouer au boules, au Mölkyy, jouer aux quilles, un été tranquille,
Un été en famille,
Un été entre parents,
Un été entre parenthèses.
CharlElie