Et dire que c’était le 4 septembre… on en riait encore. Mais depuis, seulement un mois plus tard, l’agressivité des pouvoirs publics mène à une violence telle qu’on se retrouve dans une trombe, attirés vers le fond, dans l’enfer d’un délire paranoïaque autrement défini comme un « trouble du fonctionnement mental qui se manifeste par une méfiance exagérée des autres, une sensation de menace permanente et/ou un sentiment de persécution. »
Quand on sait que le traitement des paranoïaques repose sur une psychothérapie associé à la prise de neuroleptiques, imagine t-on que
-l’obligation de porter un masque,
-l’interdiction de se réunir qu’à six,
-ne pouvoir être plus d’un visiteur à la fois auprès de la grand-mère qu’on a côtoyée encore la semaine dernière,
-se faire virer d’une terrasse avant d »avoir fini sa bière,
-l’obligation d’être rentré chez soi avant 21h pour 47 millions de Français,
-l’interdiction de danser ou ni faire du sport indoor,
ou se faire tester une fois par semaine,
ou construire des vitrages de séparation en plexi dans les réfectoires des lycées et collèges,
sans aller jusqu’à espérer un réveil de la sagesse, pensez vous que toutes ces mesures insensées ou gestes dit « barrières » suffiront à redonner suffisamment confiance à ceux qui sont persuadés du pire, eux qu’on croyait être des amis et qui se révèlent menaçants, méchants, tendus, violents, agressifs, envahis par une psychose qui les rend incapables de faire preuve d’un peu de discernement ?
26/10/2020