On disait « après moi le déluge » quand on se croyait Noé, apte à survivre face au déchaînement de la colère divine,
mais vu le réchauffement climatique, l’arche de l’archi duchesse restera en cale sèche,
Désormais on devrait plutôt dire : « Après moi, la sécheresse ». Les déserts progressent, on fait le vide derrière nous
Depuis le Club de Rome en 1972, jusqu’au « Sommet de Rio + 20 », en passant par la « Conférence de Paris 2015 », on a entendu le cri des sirènes d’alarmes des scientifiques, on connaît les conséquences de notre consommation à outrance, et pourtant les lobbies sont toujours aussi influents et nous exploitons toujours avec une âpreté et une avidité sans limite la moindre richesse que la planète portait en elle depuis des millénaires.
Bien que doués d’une intelligence d’hominidé, dite « supérieure » à toute celle de la gente animale,
Si ce n’est une Terre épuisée,
Que laissera-t on à notre descendance?
CharlElie