En 2006, j’ai écrit ça…
L’empire du pire
Sur « New YORK Cœur »
Je ne dis pas que j’utiliserais aujourd’hui les mêmes mots, les mêmes notes,
Pourtant onze ans plus tard, le résultat est le même…
C’est la perception qu’on a du monde qui donne la couleur aux jours,
C’est l’interprétation désespérée qu’on fait des événements de la vie qui peut nous entraîner dans un sombre couloir en forme de spirale qui mène, vers le siphon de la déprime qu’on trouve au centre de tous les cercles vicieux!
Dans un autre domaine, et pour rappel, depuis bientôt 100 jours on expérimente la version Américaine d’une élection qui a opté pour le nationalisme réactionnaire d’un grand banditisme spéculatif plutôt que la démocratie molle d’Hillary Clinton.
Le pays s’arrache les cheveux, (et question de mèche peroxydée, on en connaît un rayon…)
La reprise promise n’a pas eu lieu. Par contre nous sommes en amont d’une crise sans précédent, à la fois une économique, géopolitique, mais aussi une crise sociale et éthique liée à l’ébranlement des idées fondamentales qui ont inspiré la Constitution de ce pays.
La politique du pire, ça ne marche pas !
Evidemment, comme toujours, au milieu de la mélasse, certains tremperont des gants isothermes dans la poix et tireront leur épingle du jeu, mais ils seront moins nombreux que les dindons de la farce qui vont se faire transformer en hachis comme les dindes de Thanksgiving sur le terrain des guerres qui vont tuer des milliers d’innocents.
C’est ça l’espoir ?
® CharlElie